Tuesday, January 29, 2013

PUERTO MALDONADO 29/01/2013 Wtorek/Mardi/Tuesday/Martes




W naszym zaprzyjaźnionym już hotelu Teatro Inca zostawiamy podstawowe bagaże oznaczone jako "Grupo Pedro" (bez naszego Pedra wyprawa nie miałaby takiego smaku, jaki ma, powinno być jasne, że gdyby Piotrka nie było, należałoby go po prostu wymyślić, ale kto ma aż taką wyobraźnię!). Zamówionym busikiem jedziemy na lotnisko.

Teraz siedzimy na lotnisku. Agnieszka z Januszem uzupełniają wpisy na blogu. Reszta grupy zażarcie dyskutuje o programie kolejnych dni. Pedrito wydzwania do Puerto Maldonado, konsultując rozmaite możliwości w hotelach i agencjach turystycznych. 


Fotele w poczekalni ustawiliśmy stosownie do swoich potrzeb, tworząc miejsce dla gorącego klubu dyskusyjnego. 


Pięćdziesiąt minut lotu i jesteśmy w Puerto Maldonado. Z samolotu wychodzimy prawie jak do gorącego pieca, 38°C, wilgotność blisko setki. Na lotnisku czekają na nas hotelowe pojazdy.

Hotel w tym mieście mieliśmy zarezerwowany, a nawet w części opłacony przez Bogdana. Okazało się jednak, że rzeczywistość odbiega od tego, co prezentuje reklama w internecie. Zaczęły się negocjacje i próba ustalenia dalszego programu naszej wyprawy. Zdaje się, że o tej porze turystów jak na lekarstwo, więc urządza się na nich coś w rodzaju polowania. Już na lotnisku proponowano nam rozmaite pomysły na spędzenie czasu w dżungli. Telefonicznie zaprosiliśmy na rozmowę przedstawicielkę jednej z firm, która prezentowała nam swój program na lotnisku. Ostatecznie zrezygnowaliśmy z noclegu w Puerto Maldonado, od razu ruszając w dżunglę. Właściciel hotelu nie był zadowolony. Za jedną noc musieliśmy tak czy inaczej zapłacić.


Płyniemy po Rio Madre de Dios (dopływ Amazonki). W tym miejscu rzeka ma ok. 600m szerokości, a jej głębokość sięga od 10 do 20m. Odkrywamy urodę naszych domków w dżungli. Poznajemy nowych przyjaciół – współmieszkańców  takich, jak nietoperze, żaby  duże i małe mrówki,  także karaluchy dość potężnych rozmiarów. 

Piotrek zaraz na wejściu znalazł w swoim gumiaku dorodną tarantulę (patrz zdjęcie). Nasze domki stoją na polanie, a dookoła  rozbrzmiewa muzyka dżungli niezliczonymi głosami stworzeń, o których nie mamy bladego pojęcia. Jest bardzo głośno, ale hałasy natury nam nie przeszkadzają.


Ruszamy z przewodnikiem na pierwszy spacer po dżungli. Można iść tylko wyznaczona wąską ścieżką gęsiego. Po bokach nieprzebrany gąszcz najrozmaitszych drzew i roślin splątanych ciasno w niewyobrażalny sposób. To jest oczywiście ścieżka dla turystów  ale i tak daje  wyobrażenie o tym, czym jest dżungla.  Spływamy potem. Co chwila nacieramy się środkami przeciw komarom i dzielnie maszerujemy po błocie w wielkich  obłoconych gumiakach, a oczy chodzą nam dookoła głowy. Właściwie już całkiem po ciemku wracamy, żeby popłynąć jeszcze łodzią  i obserwować nocne życie kajmanów.

Kajmany  rozpoznaje się w nocy po czerwonych oczach, które podobno błyszczą tuż nad wodą. Niektórzy nawet je widzieli. Nie wszystkim jednak się to udało, choć inni mówili,  że kajman siedzi na kajmanie. Wielka jest potęga wyobraźni ludzkiej!

Znowu skończyliśmy wieczór potężnie zmęczeni. Śpimy pod moskitierami, chociaż malaria ponoć już tu nie występuje. Komary mimo to nie ustępują.

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Nous laissons la plupart de nos bagages à l'hôtel Teatro Inca - ils nous y attendront avec des étiquettes "Grupo Pedro".
Sans Pedro, notre escapade ne serait pas ce qu'elle est. Si Pedro n'existait pas, il faudrait l'inventer. Mais : qui aurait une telle imagination ?

Le minibus nous amène à l'aéroport. Là, nous attendons 2 heures. Agnieszka et Janusz complètent le blog. Les autres discutent notre programme d'activités dans la jungle.
Pedrito téléphone à Puerto Maldonado pour trouver des alternatives de séjour dans la selva.

Cinquante minutes de vol et nous sommes sur place. A la sortie de l'avion : l'impression d'entrer dans un four. 38°C et l'humidité avoisinait les 100%. A l'aéroport deux véhicules nous attendent : une voiture et... un "tuc-tuc" (une sorte de mobylette tricycle avec une bâche, utilisée ici comme un taxi). Tout le monde veut monter dedans, mais Jola et Paul sont les premiers. Du coup, ils arrivent à l'hôtel quelques minutes après le "peloton". 
Les rues de Puerto Maldonado surprennent. On ne voit que des "tuc-tuc", il n'y a pratiquement pas de véhicules à quatre roues. Même des scooters servent de taxi "individuels". Sur le siège arrière de l'un de ces scooters - une femme, allaite son bébé...

Nous découvrons également notre hôtel, réservé par Bogdan via internet. La réalité ne correspond pas tout à fait aux images vues sur le site et un éventuel séjour dans la jungle nous paraît très compliqué - l'hôtel n'a pas réellement prévu de transporter les bagages dans la jungle et on nous parle de trois quarts d'heure de marche jusqu'au lac Sandoval.

Pedro et Paul ont appelé l'une des agences qui nous a abordés à l'aéroport en proposant un programme dans la jungle. Une petite heure de négociation dans le bar en face de l'hôtel - pendant que Paul déploie ses talents de négociateur, le reste du groupe sirote des bières à la réception de l'hôtel. Enfin, marché conclu. On peut partir directement dans la jungle, dans un lodge au bord du fleuve Madre de Dios, trois nuits sur place, un guide rien que pour nous et un programme très prometteur d'aventures. Et surtout, nos bagages voyageront en bateau!
Nous ramassons donc nos bagages et quittons l'hôtel. Le propriétaire n'est pas content. Nous lui règlons quand même la première nuit, comme prévu dans les conditions de réservation.

Nous voyageons en bateau à moteur sur Madre de Dios (affluant de l'Amazone). Le fleuve a ici environ 600m de largeur et de 10 à 30m de profondeur. Et la couleur de la mer en baie de Somme, gris-marron. La jungle sur les deux rives, les arbres et arbustes semblent pousser  directement dans l'eau. On voit leurs racines - très peu profondes. Notre guide, John, raconte que les arbres tombent très souvent dans l'eau et voyagent jusqu'à l'Amazone.

Après une heure, nous découvrons notre lodge. Juste au bord du fleuve, un village, avec une dizaine de maisonnettes en bois et une plus grande qui sert de restaurant - cantine.
Les maisons sont toutes couvertes de paille.
Une nouvelle surprise : il n'y a pas de meubles dans les maisons, uniquement les lits avec moustiquaires. Un peu déboussolés, nous ne savons pas où poser nos affaires. Bon, tant pis, les vêtements vont rester dans les sacs. 
La surprise numéro deux :  chaque maisonnette possède une salle de bain et des toilettes. Il n'y a de l'eau qu'à température ambiante, c'est à dire tiède, mais nous constatons rapidement que c'est absolument suffisant. Personne ne rêve d'une douche chaude avec cette chaleur dehors...
Troisième surprise : nos maisonnettes sont squattées. Nos colocataires sont : des chauve-souris, une grenouille, un rat, deux grandes sauterelles, un certain nombre de fourmis de toutes tailles, ainsi que quelques cafards plutôt surdimensionnés.

Nous les délogeons vers la jungle, sans savoir pour combien de temps. C'est là que nous comprenons que le manque d'ameublement dans les maisons constitue un avantage important. Le soir, l'électricité est fournie entre 18h et 22h. Après dix heures du soir, il ne nous restent que nos lampes-torches pour vérifier si nos squatteurs ne sont pas revenus et le manque de meubles nous facilitera l'examen du sol...

John nous invite à une première balade dans la jungle. Il nous montre les bottes en caoutchouc que nous pouvons emprunter. Chacun de nous cherche sa taille. Une des bottes choisies par Pedro est habitée également ; une tarentule y a fait son nid...
Vite, vite, une photo ! Il s'avère par la suite que seulement Bogdan a réussi à faire une photo plus ou moins nette. 

La tarentule est délogée, nous pouvons nous rendre dans la forêt. Par un petit chemin, en file indienne derrière John. Des deux côtés du chemin une végétation extrêmement dense et variée. Ca ne ressemble en rien aux forêts que nous connaissons. Chaque arbre, chaque plante est une espece différente. John arrive à peine à répondre à toutes nos questions.
Nous nous aspergeons toutes les 10 minutes avec des produits antimoustiques qui s'en vont presque immédiatement avec la sueur. Nous marchons à travers la jungle, étonnés par l'abondance des plantes et par la multitude des bruits qui ne nous évoquent aucun oiseau ni autre animal connu. Nos têtes tournent à 360°. 
Il fait pratiquement nuit quand nous rentrons au lodge. Un dîner nous y attend. Du riz avec un des morceaux de viande. On dirait du poulet ? On l'espère...
De toute façon, il n'y a pas de choix. On nous prépare le même repas pour tous. Au moins, ceci nous évite les "embrouilles" au moment de passer la commande (une semaine au Pérou et nous sommes déjà devenus un cauchemar pour les serveurs).
Après le dîner, John nous emmène en bateau voir les caïmans qui apparemment se reposent la nuit le long des rives de Madre de Dios. 
Sauf qu'il fait une nuit noire et on ne voit rien, même dans la lumière des reflecteurs et des torches. John nous montre des paires de points rouges par-ci et par-là. Apparemment, ce sont leurs yeux. Il se montre très convaincant. Certains d'entre nous disent qu'ils les voient. D'autres se taisent en pensant que l'imagination n'a pas de limites...
Par contre, les photos prisent "à l'aveuglette" montrent effectivement quelque chose. Jugez par vous-mêmes.
Une longue journée, pleine de sensations est finie. Nous vérifions les moustiquaires - car les armées de moustiques s'acharnent sur nous - et nous nous endormons tous en un temps record.    
 
 
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En nuestro "hotel amigo"- TEATRO INCA dejamos los equipajes marcados con escrito "Grupo Pedro" (sin nuestro Pedro nuestro viaje no tendría el mismo sabor y  si no estuviera habria que inventarlo-pero quien tiene tal imaginacion para hacerlo). Con un minibus vamos hacia  aeropuerto.

Pusimos las sillas en la sala de espera de aeropuerto acorde a nuestra necesidad para hacer un club de debate.  Agnieszka y Janusz complementan relacion de nuestro blog. El resto del grupo debate ferozmente sobre el programa del día siguiente. Pedrito ha estado llamando a Puerto Maldonado, consultando una variedad de opciones en hoteles y agencias de turismo.

Cincuenta minutos de vuelo, y estamos en Puerto Maldonado. Del avión salimos a un horno caliente, 38 ° C, humedad de casi cien %. Afuera nos esperan vehiculos que nos llevan al hotel.

Hotel en la ciudad que habíamos reservado, e incluso en parte pagado por Bogdan  resultó ser diferente de lo que se presenta en la publicidad en Internet. Comenzamos a negociar y tratar de determinar más el programa de nuestra expedición. Parece que en esta época hay pocos turistas , por lo que todos estan a la caza. Ya en el aeropuerto, nos ofrecen una variedad de ideas para pasar un tiempo en la selva. Invitamos a una entrevista por teléfono a un representante de las empresas que nos presentó su programa en el aeropuerto. Inmediatamente abandonamos el hotel en Puerto Maldonado, para pasar a la selva. El dueño del hotel no estaba contento. Por una noche, tuvimos que pagar de todos modos.

Vamos por el Río Madre de Dios (Afluente de Amazonas). En este punto, el río es de aproximadamente 600 m de ancho y una profundidad que oscila de 10 a 20 m. Descubrimos la belleza de nuestras casas en la selva. Nos encontramos con nuevos amigos - convecinos, como los murciélagos, ranas, hormigas, grandes y pequeñas, las cucarachas también de tamaño muy grande.

Pedro justo estaba a punto meter el pie en las botas que nos proporcionaron pero le dio por comprobar su interior del cual saco una hermosa tarantula (ver foto). Nuestras casas están en un claro de la selva. Alrededor suena la música innumerables criaturas. Es quiza increible, pero el ruido de la naturaleza no molesta mucho.

Para empezar hacemos una caminata guiada por alrededores. Solo se puede pasar por un estrecho sendero en fila india.  A ambos lados cantidad inagotable de árboles y plantas de todo tipo enredados fuertemente en formas inimaginables. Esto es obviamente un camino para los turistas, pero te da una idea de lo que es una selva. El sudor nos empapa por completo. Nos ponemos constantemente el repelente para los mosquitos pero caminamos valientemente por el barro y nuestros ojos parecen girar alrededor de nuestras cabezas.Ya    a oscuras volvemos y montamos en una embarcacion para contemplar la vida nocturna de los caimanes.

Se pueden apreciar en la luz de las linternas sus ojos rojos justo por encima de la superficie del agua.Algunos por emocion incluso veian caimanes donde no hubo. Grande es el poder de la imaginación humana!

Una vez más, terminamos por la noche cansados. Dormimos bajo mosquiteras, mas por las incomodidades de las picaduras ya que aparentemente no hay malaria en esta region. 


Another early start of the day.   Direction Puerto Maldonado.  We took only what is needed in a jungle, the rest of our luggage stayed behind in the friendly hotel Teatro.   Minibus to the airport, 50 minute flight over Andes to Puerto Maldonado and we end up in 38C tropical oven at the gateway to the Amazon.  It is sunny, hot, and humid.  We take local transportation to a hotel we have booked.  The hotel is a little below our expectations so we decide to head straight to the jungle.  After intense negotiations with some tour operators we pick one and embark a small boat at Rio Madre de Dios to arrive at a lodge nested between the river and a dense forest.  In sounds smells and heat of new surroundings we drop our bags in modest cabins.  First guided hike through the woods, simple but tasty dinner and night boat ride in search of caimans.   We saw only red points (reflections of eyes).

We are exhausted and our beds under mosquito nets are all we need to rest before the next day.

Pracoholicy na lotnisku w Cuzco / Workoholics à l'aéroport de Cuzco / Workaholics at the airport in Cuzco


















Lecimy !!!  A nous la Selva !!! We are flying!!!



Wreszcie wiemy gdzie spedzimy noc !
Enfin, nous savons où nous allons dormir ce soir!
At last we fid out where we will be sleeping!
 


Nasza wioska nad Madre de Dios.
Notre village au bord de Madre de Dios.
Our lodge at Madre de Dios river











































Locataire de la botte de Pedro 
Mieszkala w bucie Piotrka 
It lived in Pedro's rubber boot

Jak sie dobrze przyjrzeć, to go widać!
Si on regarde bien, il est là!
If you look closely you will see him!











  

Monday, January 28, 2013

MACHU PICCHU 28/01/2013 Poniedzialek/Lundi/Monday/Lunes


Machu Picchu

Jesteśmy w Aguas Calientes. O 5.00 rano pędzimy do autobusu, który zawozi turystów na Machu Picchu (pisownia tej nazwy bywa różna, ponieważ język quechua nie miał wersji pisanej). W kolejce po bilety stanął Bogdan, bez śniadania zresztą. Dzięki niemu możemy jechać już drugim z kolei autobusem.

Droga zaczyna się nad brzegiem wściekle rwącej Urubamby. Prowadzi serpentynami nad przepaściami prawie pionowymi. Rzeka coraz bardziej “maleje”, aż z góry będzie widoczna jak wąska wstążeczka. Widok na inne zielone o tej porze góry niesamowity. Wierzchołki we mgle. Na samej gorze jesteśmy właściwie otoczeni morzem mgieł.

Machu Picchu to przykład naprzemiennych zmagań natury i kultury. Miasto wydarte dżungli, ale w swoim czasie ukryte przez dżunglę. Położone na niebotycznie wysokiej górze, otoczone podobnymi górami, z których każda mogłaby właściwie ukrywać jakąś tajemnicę. Poszukiwanie legendarnego miasta musiało na początku XX wieku  oznaczać nadzieję na łut szczęścia, przypadek.

Machu Picchu to także rezultat zderzenia kultur, z których jedna miała się za lepszą, traktując drugą jako znak barbarzyństwa. Hiszpanie, dążąc do opanowania kraju, wysiedlili Inków z Cusco. Inkowie zbudowali więc miasto w niedostępnym miejscu. Dżungla dodatkowo ukryła dżungla. W tym mieście mogło mieszkać 1000 ludzi. Nie można sobie raczej wyobrazić takiego miasta,  jeśli się go nie poczuje w “nogach”, a jest co czuć. 

A poza tym widoki!!! Raz mgła opada, potem się podnosi, znów opada, świeci ostre słońce, dookoła wspaniale, potężne pokryte zielenią góry. Piękno przyrody powala. Człowiek myśli o zmienności losu, o opozycjach miedzy kulturą i naturą, o kulturowym znaczeniu pojęć kultura i barbarzyństwo. O tym, jak mieszają się kultury i jak jedna czerpie z drugiej, jak się stapiają, jak jedna wyziera spoza drugiej i na odwrót.

Janusz, Maciek i Piotrek wspięli się Waynapicchu (2693 m n.p.m.). Tę wyprawę dokumentują zdjęcia. Wspinaczka trwała dobrze ponad godzinę i była bardzo trudna. Na szczycie koszulki nadawały się do wykręcania. Satysfakcji z tego wyczynu nic nie pobije - mówi Janusz! Wierzymy mu chętnie.

Przed zjazdem w dół cała grupa spotkała się ponownie. Piliśmy szampana (ten niesiony przez Janusza był na Waynapicchu), rozwijając narodowe flagi. Nasze mundurki i podejmowane akcje budziły powszechną sympatię, ciekawość, wręcz oczarowanie, co dawało początek miłym rozmowom.

Dobrze jest obserwować, jak wielu młodych ludzi przyjeżdża tutaj i widzieć takie “zbratanie” różnych nacji nawzajem ciekawych siebie. Pytania o to, skąd jesteśmy, jakim językiem mówimy, są na porządku dziennym. Inni też opowiadają o swoich doświadczeniach w drodze. Współcześni turyści – obywatele świata – symptom naszych czasów.

Mile spotkanie z Niemcami z Bremy, z młodymi dziewczynami z Tajwanu, z grupą Japończyków i... z Ukraińcami ze Lwowa. Starszego, bardzo sympatycznego pana ze Lwowa spotkaliśmy potem jeszcze kilka razy, zwiedzając zakątki ruin. Rozmawiał z nami po polsku i na pożegnanie ucałował szarmancko dłonie naszych pań. Agnieszka, Julia i Jola o mało co nie pękły z dumy : ręce im całowano... na Machu Picchu ! 


Spotkanie z Lwowiakiem
Rencontre avec le Lvivien


















Pogoda nam sprzyja od początku wyprawy. O tej porze roku na Machu Picchu trzeba się spodziewać deszczu. Meteorolog spotkany tam przy pracy przestrzegł nas, że dzień będzie pochmurny, ale wyszło słońce i było pięknie.

Wracaliśmy popołudniowym pociągiem do Ollantaytambo. Taki pociąg ma okna także w dachu, co pozwala widzieć wierzchołki gór pionowo wznoszących się ku niebu. Góra obok góry, każda dostojna i piękna, jakby osobna w całym tym łańcuchu górskim. Pociąg jedzie przez wąwóz i jest znakiem współczesnej cywilizacji i współczesnej turystyki.

Z Ollantaytambo wracamy naszymi samochodami do Cusco. Kolacja w restauracji Sara. Bardzo dobra. Wszyscy jesteśmy naprawdę porządnie zmęczeni i do hotelu idziemy prawie śpiąc.

Jutro lecimy samolotem do Puerto Maldonado w dżunglę. 
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Aguas Callientes, 5h du matin. Nous prenons le car direction Machu Picchu (le nom peut être écrit séparement ou en un seul mot - le quechua est à l'origine, une langue exclusivement orale).
Bogdan nous a acheté les billets - il y est allé pour faire la queue sans même prendre son petit déjeuner. Grâce à  lui, nous voyageons dans le deuxième car. 
La route commence le long de la rivière Urubamba. Ses eaux descendent et foncent comme une furie à cette période de l'année. Ensuite, la route monte en zigzag, à chaque virage nous pouvons admirer les précipices et observer Urubamba devenant rapidement un petit ruban beige au fond de la vallée.
Les montagnes sont différentes de celles près d'Arequipa. Toutes vertes et pointues, elles ressemblent à d'énormes rochers. Elles sont complètement couvertes de végétation, les sommets chachés dans les nuages. Arrivés en haut, nous nous trouvons au milieu de cet océan de nuages et de brouillard.

Le Machu Picchu surprend. Nous entrons dans le site par un portique électronique. Nos billets sont scannés. On dirait le Musée du Louvre...
Mais ensuite... la nature dans toute sa splendeur. Le Machu Picchu apparaît comme le résultat d'un combat de la nature et de la culture. Des cultures. Le site arraché à la jungle, ensuite protégé et caché par la jungle pendant des siècles. Tout en haut d'une montagne, entouré de dizaines de montagnes semblables. Retrouver ce site au début du XX siècle relevait déjà d'un miracle. Une chasse au trésor réussie. 

C'est aussi le lieu d'un combat de deux cultures entre elles, dont l'une se considerait supérieure, tenant l'autre pour barbare. Les Espagnols ont chassé les Inkas de Cuzco. Les Inkas ont construit ce site afin de se faire oublier des conquistadors.
Plus de mille personnes ont habité ici. Il faut se balader, savoir s'y perdre pour sentir cette ambiance unique. Un dédale d'escaliers et de terrasses. Mal aux jambes, mal aux pieds - ceci fait aussi partie de notre perception du site et restera gravé dans nos souvenirs.
Et ces vues... ces paysages... le brouillard se lève et revient, le soleil éclaire les montagnes et les pierres, puis il se cache dans les nuages, ensuite il réapparaît. Le spectacle grandiose de la nature nous met à genoux. La nature et la culture. Les cultures et leurs interdépendances. Elles se combattent, mais elles finissent par se mélanger, se fondre et puiser l'une dans l'autre pour donner cette image hétéroclite du Pérou d'aujourd'hui. On ne sait plus séparer les deux cultures. On observe par moment les éléments de l'une et de l'autre culture prendre le dessus afin de, pour finir, nous en "mettre plein les yeux". 

Pendant que nous ne sentons plus nos jambes, à monter et descendre les escaliers du site principal, Maciek, Janusz et Pedro se sont donnés un défi d'atteindre le sommet du Waynapicchu (2693m n.p.m.), le rocher qui surplombe le Machu Picchu. L'escalade a duré une bonne une heure et demie et était plutôt difficile. Ils y ont vraiment "mouillé leur chemise". En arrivant en haut, leurs T-shirts étaient bon à essorer.
Janusz a dit : "Rien ne peut égaler la joie de regarder le Machu Picchu d'en haut"... On veut bien le croire. Un exploit dont nous sommes tous très fiers. Les nôtres ont réussi l'ascension du Wayna!
Pendant ce temps, en bas, nous avons failli sacrifier Agnieszka sur un autel en pierre, mais un garde nous a rappelé à l'ordre. Le site est en fait très surveillé. On ne peut s'assoir n'importe où ni faire n'importe quoi. Le respect de l'Histoire oblige.

Nous nous sommes retrouvés tous en bas, à la sortie du site. Nous avons déployé encore une fois nos drapeaux respectifs et nous avons ouvert nos deux bouteilles de champagne dont une a fait l'ascension de Wayna avec Janusz.
Nos T-shirts ont beaucoup plu, on reconnaissait les membres de notre groupe. A l'intérieur du site, nous avons rencontré des touristes qui nous abordaient en disant : "nous avons croisé les vôtres là haut, sur Wayna !".
Il était plaisant de remarquer que les jeunes de tous les pays du monde visitent le site, se rencontrent, discutent et échangent leurs expériences. Les touristes d'aujourd'hui - citoyens du monde, la marque des temps modernes.
Nous avons rencontré des Allemands de Brème, des jeunes filles Taiwanaises, un groupe de Japonais et... des Ukrainiens de Lvov, dont un papy parlant le polonais. Une rencontre très sympathique. Au moment de nous quitter, le papy a fait preuve de courtoisie à l'ancienne avec un baise-main à "nos filles". 
Après cette rencontre, Agnieszka, Julia et Jola continuaient la visite fières comme des paons : un baise-main au Machu-Picchu, ça n'arrive pas à tout le monde!

Une expérience inoubliable. Le Machu Picchu a dépassé toutes nos attentes. C'est réllement un endroit sur terre qu'il faut voir une fois dans sa vie... 

Nous rentrons à Ollantaytambo par le train de l'après-midi, puis nous reprenons nos voitures pour retourner à Cuzco. Juste avant de monter dans les voitures, nous nous achetons du maïs au fromage... mmmmmm....

Dîner dans le restaurant Sara à Cuzco. Très bon. Pas étonnant, le tuyau vient du Guide du routard de Gérard!
Très fatigués, nous rentrons à l'hôtel. Le ledemain, nous nous envolons vers la selva.


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Estamos en Aguas Calientes. Alrededor de las 5:00 am corremos hacia un autobús que lleva  a los turistas a Machu Picchu (la escritura del nombre es a veces diferente, ya que el quechua no tenía forma escrita segun la gente de alli es Machupicchu). Gracias a Bogdan , que se fue a por los billetes sin desayunar podemos montar en el segundo autobús.

El recorrido comienza por la orilla del rio Urubamba que lleva sus aguas furiosamente. El camino empinado con serpentinas y paredes verticales nos lleva hasta la montaña de Machupicchu. El rio en cada momento se hace mas pequeño. Alrededor hay otras montañas con las cimas cubiertas de niebla.  Ver estas montañas es algo que se graba en nuestras mentes.

Machu Picchu es una ciudad en un bello paraje que esta a mitad de camino entre la amazonia y  los andes que en su tiempo florecia de vida y comercio. Fue descubierta por casualidad porque despues de su declive la oculto vegetacion de la selva. Rodeada con montañas con un rio de exuberantes aguas mas abajo tenia que ser una ciudad privilegiada para vivir. Esta ciudad albergaba alrededor de 1000 personas. Para conocerla una poco y sentir como podria ser la vida en ella hay que emplear a fondo sus pies. Es lo que hicimos.


Las vistas impresionan. La niebla descende luego sube otra vez sale el sol abrasador y baña con su luz las grandes montañas cubiertas de vegetacion y el valle con su rio.

Janusz, Maciek y Pedro subieron a Waynapicchu (2693 m) lo que documentaron con fotos. Escalada duró más de una hora y fue muy difícil. En la parte superior las camisetas se podria escurrir de sudor, pero segun dice Janusz lo que cuenta es la verdadera satisfaccion y obviamente las vistas increibles.

Antes de abandonar esta antigua ciudad todo el grupo se reunió de nuevo. Bebimos champán (que tambien ha subido a waynapicchu dentro de las mochilas) sacamos nuestras correspondientes banderas y nos hacemos una foto de recuerdo. Por cierto nuestras camisetas y gorras oficiales despiertan curiosidad y dan lugar a entablar conversaciones con gente de otros paises. Preguntas acerca de dónde somos, qué idioma hablamos, están en el orden del día. Otros también hablan de sus experiencias en el camino. Turistas modernos - los ciudadanos del mundo - un síntonia perfecta.Hablamos con los ucranianos de  Lviv, alemanes de Bremen, chicas de Taiwan y un grupo de Japoneses.


En esta época del año en MachuPicchu deberiamos esperar la lluvia. Sin embargo salio el sol y todo fue precioso.

Volvimos en el tren de la tarde a Ollantaytambo. El tren también tiene ventanas en el techo, lo que le permite ver las cimas de las montañas se elevan verticalmente hacia el cielo. Al lado de vias del tren el rio Urubamba con sus aguas turbias. 

De Ollantaytambo a Cusco volvemos con nuestros coches. La cena en el restaurante Sara. Muy bueno. Estamos todos muy cansados ​​y vamos al hotel casi durmiendo.

Mañana volamos en avión a Puerto Maldonado en la selva.  


Aquas Calliente.  At 5AM, after quick breakfast, we are marching to catch the first bus to Machu Picchu.  From a shore of Urubamba River the bus takes us by narrow winding road to fogged entrance of the Lost City at the top of the hill.  Clouds roll in and out allowing magnificent views at the ruins and surrounding mountains.  We begin exploring the Lost City.

For Janusz, Maciek and Piotrek this is not enough.  They take a tiring hike to Wayna Picchu.  From the top the views are even more breathtaking, the ruins look like made of Legos and powerful Urubamba like a little spill of coffee.

After a descent back to Machu Picchu we meet to uncork couple of bottles of Champaign and take a group photo with national flags.  Our t-shirts and hats catch attention of other tourists and become conversation starters.  Weather is cooperating; sunshine is always appreciated in rainy season at Machu Picchu!!!

Time to return to Cusco: bus down to Aquas Callientes, train to Ollataytamba, then cars.  We arrive at our friendly hotel late at night.  The flat tire has been fixed.

Tomorrow off to the jungle. 







Agnieszka jako ofiara / Agnieszka comme offrande
Agnieszka como ofrenda en el altar / Agnieszka sacrificed 

Uratowana... / Sauvée.../Salvada... / Saved...




















Fotoreportaż ze zdobywania Waynapicchu / Ascension de Waynapicchu
Fotoreportaje de ascension al cumbre de Waynapicchu /
The climb of Waynapicchu





















































Dla takich widoków było warto się trudzić!
La vue valait cette peine!
Para estas vistas merecio la pena
The views were worth the pain!



































Waynapicchu
























Paweł uwiecznił sukces "naszych" teleobiektywem.
Les nôtres sur Wayna!
Pawel intento hacernos una foto con teleobjetivo
Pawel captured climbers with his tele-lens



















Ta sama droga w dol
Descente par le même chemin
El mismo camino para bajo
The same way down
























Nasi bohaterowie... / Nos héros.../Nuestros heroes / Our heros


















Lama nie mogla uwierzyc, ze dali rade!
Le lama ne voulait pas y croire!
Nisiquiera la llama podia creerlo
Lama could not believe they could do it!



















Nasze koszulki zawsze wzbudzały duże zainteresowanie /
Nos T-shirts ont été souvent remarqués par d'autres touristes ou locaux
Nuestras camisetas despertaban curiosidad
Our T-shirts always caught attention
















Nasz blog tez chyba jest czytany... Przynajmniej przez rodziny i przyjaciół.
Oto jak widzą w Kraju naszą ekspedycję... I maja rację ;))
Dzieki, Guru !!!

Notre blog est lu également. Au moins par nos familles et nos amis.
Voilà comment un ami (merci, Guru !) perçoit notre expédition...
Il n'a pas tout à fait tort ;))

Nuestro blog esta siendo consultado... por lo menos por nuestros
amigos y familiares.

Our blog most likely is read as well... At least by families and friends.
This is how they see our expedition... And they are right ;))







































Celebracja po zwiedzeniu Machu Picchu w barwach narodowych
Deuxième célébration avec les drapeaux (+ champagne)
Celebracion de visita de Machupicchu con colores nacionales (+ champan)
Celebration after visiting Machu Picchu displaying national colours.