W naszym zaprzyjaźnionym już hotelu Teatro Inca zostawiamy
podstawowe bagaże oznaczone jako "Grupo Pedro" (bez naszego Pedra wyprawa nie
miałaby takiego smaku, jaki ma, powinno być jasne, że gdyby Piotrka nie było, należałoby go po prostu wymyślić, ale kto ma aż taką wyobraźnię!). Zamówionym busikiem jedziemy na lotnisko.
Teraz siedzimy na lotnisku. Agnieszka z Januszem uzupełniają wpisy na blogu. Reszta grupy zażarcie dyskutuje o programie kolejnych dni. Pedrito wydzwania do Puerto Maldonado, konsultując rozmaite możliwości w hotelach i agencjach turystycznych.
Fotele w poczekalni ustawiliśmy stosownie do swoich potrzeb, tworząc miejsce dla gorącego klubu dyskusyjnego.
Pięćdziesiąt minut lotu i jesteśmy w Puerto Maldonado. Z samolotu wychodzimy prawie jak do gorącego pieca, 38°C, wilgotność blisko setki. Na lotnisku czekają na nas hotelowe pojazdy.
Hotel w tym mieście mieliśmy zarezerwowany, a nawet w części opłacony przez Bogdana. Okazało się jednak, że rzeczywistość odbiega od tego, co prezentuje reklama w internecie. Zaczęły się negocjacje i próba ustalenia dalszego programu naszej wyprawy. Zdaje się, że o tej porze turystów jak na lekarstwo, więc urządza się na nich coś w rodzaju polowania. Już na lotnisku proponowano nam rozmaite pomysły na spędzenie czasu w dżungli. Telefonicznie zaprosiliśmy na rozmowę przedstawicielkę jednej z firm, która prezentowała nam swój program na lotnisku. Ostatecznie zrezygnowaliśmy z noclegu w Puerto Maldonado, od razu ruszając w dżunglę. Właściciel hotelu nie był zadowolony. Za jedną noc musieliśmy tak czy inaczej zapłacić.
Płyniemy po
Rio Madre de Dios (dopływ Amazonki). W tym miejscu rzeka ma ok. 600m szerokości, a jej głębokość sięga od 10 do 20m.
Odkrywamy urodę naszych domków w dżungli. Poznajemy nowych przyjaciół – współmieszkańców takich, jak nietoperze, żaby duże i małe mrówki, także karaluchy dość potężnych rozmiarów.
Piotrek zaraz na wejściu znalazł w swoim gumiaku dorodną tarantulę (patrz zdjęcie). Nasze domki
stoją na polanie, a dookoła rozbrzmiewa muzyka dżungli niezliczonymi głosami
stworzeń, o których nie mamy bladego pojęcia. Jest bardzo głośno, ale hałasy natury nam nie przeszkadzają.
Piotrek zaraz na wejściu znalazł w swoim gumiaku dorodną tarantulę (patrz zdjęcie).
Ruszamy z
przewodnikiem na pierwszy spacer po dżungli. Można iść tylko wyznaczona wąską ścieżką gęsiego. Po bokach nieprzebrany gąszcz najrozmaitszych drzew i roślin splątanych ciasno w niewyobrażalny sposób. To jest oczywiście ścieżka dla turystów ale i tak daje wyobrażenie o tym, czym jest dżungla. Spływamy potem. Co
chwila nacieramy się środkami przeciw komarom i dzielnie maszerujemy po błocie w
wielkich obłoconych gumiakach, a oczy chodzą nam dookoła głowy. Właściwie już całkiem po ciemku wracamy, żeby popłynąć jeszcze łodzią i obserwować nocne życie kajmanów.
Kajmany rozpoznaje się w nocy po czerwonych oczach, które podobno błyszczą tuż nad wodą. Niektórzy nawet je widzieli. Nie wszystkim
jednak się to udało, choć inni mówili, że kajman siedzi na kajmanie. Wielka jest potęga wyobraźni ludzkiej!
Znowu skończyliśmy wieczór potężnie zmęczeni. Śpimy pod moskitierami, chociaż malaria ponoć już tu nie występuje. Komary mimo to nie ustępują.
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Nous laissons la plupart de nos bagages à l'hôtel Teatro Inca - ils nous y attendront avec des étiquettes "Grupo Pedro".
Sans Pedro, notre escapade ne serait pas ce qu'elle est. Si Pedro n'existait pas, il faudrait l'inventer. Mais : qui aurait une telle imagination ?
Le minibus nous amène à l'aéroport. Là, nous attendons 2 heures. Agnieszka et Janusz complètent le blog. Les autres discutent notre programme d'activités dans la jungle.
Pedrito téléphone à Puerto Maldonado pour trouver des alternatives de séjour dans la selva.
Cinquante minutes de vol et nous sommes sur place. A la sortie de l'avion : l'impression d'entrer dans un four. 38°C et l'humidité avoisinait les 100%. A l'aéroport deux véhicules nous attendent : une voiture et... un "tuc-tuc" (une sorte de mobylette tricycle avec une bâche, utilisée ici comme un taxi). Tout le monde veut monter dedans, mais Jola et Paul sont les premiers. Du coup, ils arrivent à l'hôtel quelques minutes après le "peloton".
Les rues de Puerto Maldonado surprennent. On ne voit que des "tuc-tuc", il n'y a pratiquement pas de véhicules à quatre roues. Même des scooters servent de taxi "individuels". Sur le siège arrière de l'un de ces scooters - une femme, allaite son bébé...
Nous découvrons également notre hôtel, réservé par Bogdan via internet. La réalité ne correspond pas tout à fait aux images vues sur le site et un éventuel séjour dans la jungle nous paraît très compliqué - l'hôtel n'a pas réellement prévu de transporter les bagages dans la jungle et on nous parle de trois quarts d'heure de marche jusqu'au lac Sandoval.
Pedro et Paul ont appelé l'une des agences qui nous a abordés à l'aéroport en proposant un programme dans la jungle. Une petite heure de négociation dans le bar en face de l'hôtel - pendant que Paul déploie ses talents de négociateur, le reste du groupe sirote des bières à la réception de l'hôtel. Enfin, marché conclu. On peut partir directement dans la jungle, dans un lodge au bord du fleuve Madre de Dios, trois nuits sur place, un guide rien que pour nous et un programme très prometteur d'aventures. Et surtout, nos bagages voyageront en bateau!
Nous ramassons donc nos bagages et quittons l'hôtel. Le propriétaire n'est pas content. Nous lui règlons quand même la première nuit, comme prévu dans les conditions de réservation.
Nous voyageons en bateau à moteur sur Madre de Dios (affluant de l'Amazone). Le fleuve a ici environ 600m de largeur et de 10 à 30m de profondeur. Et la couleur de la mer en baie de Somme, gris-marron. La jungle sur les deux rives, les arbres et arbustes semblent pousser directement dans l'eau. On voit leurs racines - très peu profondes. Notre guide, John, raconte que les arbres tombent très souvent dans l'eau et voyagent jusqu'à l'Amazone.
Après une heure, nous découvrons notre lodge. Juste au bord du fleuve, un village, avec une dizaine de maisonnettes en bois et une plus grande qui sert de restaurant - cantine.
Les maisons sont toutes couvertes de paille.
Une nouvelle surprise : il n'y a pas de meubles dans les maisons, uniquement les lits avec moustiquaires. Un peu déboussolés, nous ne savons pas où poser nos affaires. Bon, tant pis, les vêtements vont rester dans les sacs.
La surprise numéro deux : chaque maisonnette possède une salle de bain et des toilettes. Il n'y a de l'eau qu'à température ambiante, c'est à dire tiède, mais nous constatons rapidement que c'est absolument suffisant. Personne ne rêve d'une douche chaude avec cette chaleur dehors...
Troisième surprise : nos maisonnettes sont squattées. Nos colocataires sont : des chauve-souris, une grenouille, un rat, deux grandes sauterelles, un certain nombre de fourmis de toutes tailles, ainsi que quelques cafards plutôt surdimensionnés.
Nous les délogeons vers la jungle, sans savoir pour combien de temps. C'est là que nous comprenons que le manque d'ameublement dans les maisons constitue un avantage important. Le soir, l'électricité est fournie entre 18h et 22h. Après dix heures du soir, il ne nous restent que nos lampes-torches pour vérifier si nos squatteurs ne sont pas revenus et le manque de meubles nous facilitera l'examen du sol...
John nous invite à une première balade dans la jungle. Il nous montre les bottes en caoutchouc que nous pouvons emprunter. Chacun de nous cherche sa taille. Une des bottes choisies par Pedro est habitée également ; une tarentule y a fait son nid...
Vite, vite, une photo ! Il s'avère par la suite que seulement Bogdan a réussi à faire une photo plus ou moins nette.
La tarentule est délogée, nous pouvons nous rendre dans la forêt. Par un petit chemin, en file indienne derrière John. Des deux côtés du chemin une végétation extrêmement dense et variée. Ca ne ressemble en rien aux forêts que nous connaissons. Chaque arbre, chaque plante est une espece différente. John arrive à peine à répondre à toutes nos questions.
Nous nous aspergeons toutes les 10 minutes avec des produits antimoustiques qui s'en vont presque immédiatement avec la sueur. Nous marchons à travers la jungle, étonnés par l'abondance des plantes et par la multitude des bruits qui ne nous évoquent aucun oiseau ni autre animal connu. Nos têtes tournent à 360°.
Il fait pratiquement nuit quand nous rentrons au lodge. Un dîner nous y attend. Du riz avec un des morceaux de viande. On dirait du poulet ? On l'espère...
De toute façon, il n'y a pas de choix. On nous prépare le même repas pour tous. Au moins, ceci nous évite les "embrouilles" au moment de passer la commande (une semaine au Pérou et nous sommes déjà devenus un cauchemar pour les serveurs).
Après le dîner, John nous emmène en bateau voir les caïmans qui apparemment se reposent la nuit le long des rives de Madre de Dios.
Sauf qu'il fait une nuit noire et on ne voit rien, même dans la lumière des reflecteurs et des torches. John nous montre des paires de points rouges par-ci et par-là. Apparemment, ce sont leurs yeux. Il se montre très convaincant. Certains d'entre nous disent qu'ils les voient. D'autres se taisent en pensant que l'imagination n'a pas de limites...
Par contre, les photos prisent "à l'aveuglette" montrent effectivement quelque chose. Jugez par vous-mêmes.
Une longue journée, pleine de sensations est finie. Nous vérifions les moustiquaires - car les armées de moustiques s'acharnent sur nous - et nous nous endormons tous en un temps record.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------Après une heure, nous découvrons notre lodge. Juste au bord du fleuve, un village, avec une dizaine de maisonnettes en bois et une plus grande qui sert de restaurant - cantine.
Les maisons sont toutes couvertes de paille.
Une nouvelle surprise : il n'y a pas de meubles dans les maisons, uniquement les lits avec moustiquaires. Un peu déboussolés, nous ne savons pas où poser nos affaires. Bon, tant pis, les vêtements vont rester dans les sacs.
La surprise numéro deux : chaque maisonnette possède une salle de bain et des toilettes. Il n'y a de l'eau qu'à température ambiante, c'est à dire tiède, mais nous constatons rapidement que c'est absolument suffisant. Personne ne rêve d'une douche chaude avec cette chaleur dehors...
Troisième surprise : nos maisonnettes sont squattées. Nos colocataires sont : des chauve-souris, une grenouille, un rat, deux grandes sauterelles, un certain nombre de fourmis de toutes tailles, ainsi que quelques cafards plutôt surdimensionnés.
Nous les délogeons vers la jungle, sans savoir pour combien de temps. C'est là que nous comprenons que le manque d'ameublement dans les maisons constitue un avantage important. Le soir, l'électricité est fournie entre 18h et 22h. Après dix heures du soir, il ne nous restent que nos lampes-torches pour vérifier si nos squatteurs ne sont pas revenus et le manque de meubles nous facilitera l'examen du sol...
John nous invite à une première balade dans la jungle. Il nous montre les bottes en caoutchouc que nous pouvons emprunter. Chacun de nous cherche sa taille. Une des bottes choisies par Pedro est habitée également ; une tarentule y a fait son nid...
Vite, vite, une photo ! Il s'avère par la suite que seulement Bogdan a réussi à faire une photo plus ou moins nette.
La tarentule est délogée, nous pouvons nous rendre dans la forêt. Par un petit chemin, en file indienne derrière John. Des deux côtés du chemin une végétation extrêmement dense et variée. Ca ne ressemble en rien aux forêts que nous connaissons. Chaque arbre, chaque plante est une espece différente. John arrive à peine à répondre à toutes nos questions.
Nous nous aspergeons toutes les 10 minutes avec des produits antimoustiques qui s'en vont presque immédiatement avec la sueur. Nous marchons à travers la jungle, étonnés par l'abondance des plantes et par la multitude des bruits qui ne nous évoquent aucun oiseau ni autre animal connu. Nos têtes tournent à 360°.
Il fait pratiquement nuit quand nous rentrons au lodge. Un dîner nous y attend. Du riz avec un des morceaux de viande. On dirait du poulet ? On l'espère...
De toute façon, il n'y a pas de choix. On nous prépare le même repas pour tous. Au moins, ceci nous évite les "embrouilles" au moment de passer la commande (une semaine au Pérou et nous sommes déjà devenus un cauchemar pour les serveurs).
Après le dîner, John nous emmène en bateau voir les caïmans qui apparemment se reposent la nuit le long des rives de Madre de Dios.
Sauf qu'il fait une nuit noire et on ne voit rien, même dans la lumière des reflecteurs et des torches. John nous montre des paires de points rouges par-ci et par-là. Apparemment, ce sont leurs yeux. Il se montre très convaincant. Certains d'entre nous disent qu'ils les voient. D'autres se taisent en pensant que l'imagination n'a pas de limites...
Par contre, les photos prisent "à l'aveuglette" montrent effectivement quelque chose. Jugez par vous-mêmes.
Une longue journée, pleine de sensations est finie. Nous vérifions les moustiquaires - car les armées de moustiques s'acharnent sur nous - et nous nous endormons tous en un temps record.
En nuestro "hotel amigo"- TEATRO INCA dejamos los equipajes marcados con escrito "Grupo Pedro" (sin nuestro Pedro nuestro viaje no tendría el mismo sabor y si no estuviera habria que inventarlo-pero quien tiene tal imaginacion para hacerlo). Con un minibus vamos hacia aeropuerto.
Pusimos las sillas en la sala de espera de aeropuerto acorde a nuestra necesidad para hacer un club de debate. Agnieszka y Janusz complementan relacion de nuestro blog. El resto del grupo debate ferozmente sobre el programa del día siguiente. Pedrito ha estado llamando a Puerto Maldonado, consultando una variedad de opciones en hoteles y agencias de turismo.
Cincuenta minutos de vuelo, y estamos en Puerto Maldonado. Del avión salimos a un horno caliente, 38 ° C, humedad de casi cien %. Afuera nos esperan vehiculos que nos llevan al hotel.
Hotel en la ciudad que habíamos reservado, e incluso en parte pagado por Bogdan resultó ser diferente de lo que se presenta en la publicidad en Internet. Comenzamos a negociar y tratar de determinar más el programa de nuestra expedición. Parece que en esta época hay pocos turistas , por lo que todos estan a la caza. Ya en el aeropuerto, nos ofrecen una variedad de ideas para pasar un tiempo en la selva. Invitamos a una entrevista por teléfono a un representante de las empresas que nos presentó su programa en el aeropuerto. Inmediatamente abandonamos el hotel en Puerto Maldonado, para pasar a la selva. El dueño del hotel no estaba contento. Por una noche, tuvimos que pagar de todos modos.
Vamos por el Río Madre de Dios (Afluente de Amazonas). En este punto, el río es de aproximadamente 600 m de ancho y una profundidad que oscila de 10 a 20 m. Descubrimos la belleza de nuestras casas en la selva. Nos encontramos con nuevos amigos - convecinos, como los murciélagos, ranas, hormigas, grandes y pequeñas, las cucarachas también de tamaño muy grande.
Pedro justo estaba a punto meter el pie en las botas que nos proporcionaron pero le dio por comprobar su interior del cual saco una hermosa tarantula (ver foto). Nuestras casas están en un claro de la selva. Alrededor suena la música innumerables criaturas. Es quiza increible, pero el ruido de la naturaleza no molesta mucho.
Para empezar hacemos una caminata guiada por alrededores. Solo se puede pasar por un estrecho sendero en fila india. A ambos lados cantidad inagotable de árboles y plantas de todo tipo enredados fuertemente en formas inimaginables. Esto es obviamente un camino para los turistas, pero te da una idea de lo que es una selva. El sudor nos empapa por completo. Nos ponemos constantemente el repelente para los mosquitos pero caminamos valientemente por el barro y nuestros ojos parecen girar alrededor de nuestras cabezas.Ya a oscuras volvemos y montamos en una embarcacion para contemplar la vida nocturna de los caimanes.
Se pueden apreciar en la luz de las linternas sus ojos rojos justo por encima de la superficie del agua.Algunos por emocion incluso veian caimanes donde no hubo. Grande es el poder de la imaginación humana!
Una vez más, terminamos por la noche cansados. Dormimos bajo mosquiteras, mas por las incomodidades de las picaduras ya que aparentemente no hay malaria en esta region.
Another
early start of the day. Direction
Puerto Maldonado. We took only what is
needed in a jungle, the rest of our luggage stayed behind in the friendly hotel
Teatro. Minibus to the airport, 50
minute flight over Andes to Puerto Maldonado and we end up in 38C tropical oven
at the gateway to the Amazon. It is
sunny, hot, and humid. We take local
transportation to a hotel we have booked.
The hotel is a little below our expectations so we decide to head
straight to the jungle. After intense
negotiations with some tour operators we pick one and embark a small boat at
Rio Madre de Dios to arrive at a lodge nested between the river and a dense
forest. In sounds smells and heat of new
surroundings we drop our bags in modest cabins.
First guided hike through the woods, simple but tasty dinner and night
boat ride in search of caimans. We saw
only red points (reflections of eyes).
We are
exhausted and our beds under mosquito nets are all we need to rest before the
next day.
Pracoholicy na lotnisku w Cuzco / Workoholics à l'aéroport de Cuzco / Workaholics at the airport in Cuzco
Lecimy !!! A nous la Selva !!! We are flying!!!
Enfin, nous savons où nous allons dormir ce soir!
At last we fid out where we will be sleeping!
Nasza wioska nad Madre de Dios.
Notre village au bord de Madre de Dios.
Our lodge at Madre de Dios river
Locataire de la botte de Pedro
Mieszkala w bucie Piotrka
It lived in Pedro's rubber boot
Jak sie dobrze przyjrzeć, to go widać!
Si on regarde bien, il est là!
If you look closely you will see him!